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​Etudes scientifiques

Etudes jeûne sec et preservation de l'eau endogène. 

https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC4838129/
Voici une synthèse de l’étude intitulée “The 'selfish brain' is regulated by aquaporins and autophagy under nutrient deprivation” (Ye et al., 2016) PMC+1
… suivie d’une analogie avec la pratique du jeûne sec holistique.

 Synthèse de l’étude
ObjectifExaminer comment le cerveau se protège sous conditions de privation de nourriture et/ou d’eau (soit une forme de jeûne / déshydratation) chez la souris — dans le cadre de la théorie du « cerveau égoïste » (“selfish brain”) : c’est-à-dire que le cerveau maintient sa masse et ses fonctions même lorsque le reste de l’organisme est en déficit. PubMed+1
Méthode
  • Des souris ont été réparties en différents groupes : contrôle, privation d’eau, privation de nourriture, privation combinée eau + nourriture. PMC
  • Diverses mesures ont été faites : poids corporel, glycémie, poids du cerveau, contenu en eau du cerveau, expression des protéines AQP1 et AQP4 (aquaporines, protéines de transport de l’eau), marqueur LC3 (pour l’autophagie). PubMed+1
Résultats clés
  • Le poids corporel des souris a fortement diminué dans les groupes de privation, mais le poids du cerveau est resté stable. PMC+1
  • Le contenu en eau du cerveau n’a pas montré de réduction significative dans les premières phases de privation, indiquant que le cerveau maintient son hydratation relative. PMC
  • Au niveau des aquaporines : les niveaux d’AQP1 et AQP4 n’ont pas varié pour la plupart des temps, mais une réduction est observée aux derniers jours de privation combinée. Cela suggère une régulation de l’eau cérébrale. PubMed+1
  • Concernant l’autophagie : la privation (nourriture principalement, puis eau) a activé l’autophagie dans les cellules cérébrales (augmentation du ratio LC3II/LC3I) — un mécanisme de “recyclage” cellulaire pendant stress nutritif. PMC+1
Conclusion de l’étudeL’étude démontre que, même en condition de privation sévère, le cerveau privilégie son approvisionnement en eau et en énergie — via des mécanismes tels que l’autophagie et la régulation des aquaporines — ce qui illustre la théorie du “selfish brain”. Elle suggère que le cerveau emploie des stratégies pour maintenir sa fonction, et que l’autophagie joue un rôle central dans cette adaptation. PubMed

 Analogie avec le jeûne sec holistique
Voici comment cette étude peut être reliée à la pratique du jeûne sec dans une approche thérapeutique et holistique :
  1. Maintien des fonctions vitales pendant privation
    • L’étude montre que même en absence d’eau et/ou de nourriture, le cerveau se protège et maintient sa masse et hydratation.
    • Dans le jeûne sec bien encadré, on observe que le corps entre en mode « réparation » : il préserve les fonctions essentielles tout en mobilisant les ressources internes.
    • Cela valide l’idée que le corps peut fonctionner sans apports externes pendant un temps, sous contrôle, et activer des mécanismes de protection internes.
  2. Activation de l’autophagie
    • L’augmentation du marqueur LC3 dans l’étude suggère que la privation stimule l’autophagie cérébrale.
    • En jeûne sec, l’autophagie est un principe central : le corps recycle les éléments dysfonctionnels, les mitochondries endommagées, les déchets intracellulaires.
    • Cela renforce l’argument selon lequel le jeûne sec « dépoussière » l’intérieur des cellules, et permet une régénération profonde.
  3. Régulation de l’eau intracellulaire
    • L’étude sur les aquaporines et le maintien de l’eau cérébrale montre que même sans apports externes, le corps gère l’eau de façon optimale.
    • Dans le jeûne sec, l’idée que le corps produit sa propre « eau métabolique » et gère l’équilibre hydrique interne trouve un écho : cette capacité de l’organisme est mise en avant dans une approche holistique.
  4. Sélection physiologique et priorisation
    • Le “selfish brain” indique que le cerveau priorise sa survie. Le corps dans son ensemble adopte une logique de survie optimisée.
    • Le jeûne sec, lorsqu’il est bien mené, suit cette logique : le corps met en pause la digestion, la croissance externe, pour se concentrer sur la réparation interne.
    • Cela explique pourquoi on observe des effets rapides sur certaines douleurs, inflammations : l’organisme “reconsidère” ses priorités.
  5. Implication thérapeutique
    • Cette étude, bien que menée sur animaux, apporte une assise scientifique à la notion que la privation contrôlée (sans apports) peut déclencher des mécanismes de réparation importants.
    • Pour une approche holistique, cela renforce la crédibilité du jeûne sec comme outil thérapeutique — non pas exclusivement nutritionnel, mais métabolique, cellulaire, énergétique.

Etudes sur jeûne sec 14 h par jour durant 30 jours- Bienfaits cancer et syndrome métabolique
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36506940/

​Le jeûne sec de l'aube au crépuscule induit un protéome anti-athérosclérotique, anti-inflammatoire et anti-tumoral dans les cellules mononucléaires du sang périphérique chez les sujets atteints du syndrome métabolique.
 Ayse L Mindikoglu 1 2, Jihwan Park 3, Antone R Opekun 1 4, Mustafa M Abdulsada 1, Zoe R Wilhelm 1, Prasun K Jalal 1 2, Sridevi Devaraj 5, Sung Yun Jung 3 Les affiliations se développent PMID : 36506940 PMCID : PMC9731888 DOI : 10.1016/j.metop.2022.100214
Article PMC gratuit Résumé Contexte : Le syndrome métabolique caractérisé par l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, des taux élevés de glucose et de triglycérides à jeun et un faible taux de cholestérol à lipoprotéines de haute densité est associé à un état pro-inflammatoire, à un risque accru d'athérosclérose et à de multiples cancers. Nos résultats précédents sur des sujets atteints du syndrome métabolique ont montré qu'un jeûne sec de 4 semaines de l'aube au crépuscule (coucher du soleil) entraînait des modifications significatives du protéome sérique et une amélioration de plusieurs facteurs de risque métaboliques. La protéomique des cellules mononucléaires du sang périphérique (PBMC) est un outil puissant qui peut fournir des informations mécanistes sur la façon dont le jeûne sec de l'aube au crépuscule affecte l'expression des protéines dans les voies métaboliques au niveau cellulaire. Dans cette étude, nous avons déterminé si le jeûne sec de l'aube au crépuscule induirait des changements favorables dans le protéome des PBMC chez les sujets atteints du syndrome métabolique, similaires aux changements induits par le jeûne sec de l'aube au crépuscule dans le protéome sérique des mêmes sujets.
Méthodes : Nous avons mené une étude prospective sur des sujets atteints du syndrome métabolique et recueilli des échantillons de sang avant 4 semaines de jeûne sec de l'aube au crépuscule, à la fin de 4 semaines de jeûne sec de l'aube au crépuscule et une semaine après 4 semaines de jeûne. jeûne sec de l'aube au crépuscule. Nous avons effectué une protéomique non ciblée à l'aide d'une spectrométrie de masse en nano-chromatographie liquide ultra-haute performance pour évaluer l'impact d'un jeûne sec de 4 semaines de l'aube au crépuscule sur le protéome des PBMC. Résultats : 14 sujets atteints du syndrome métabolique, âgés en moyenne de 59 ans, ont jeûné de l'aube au crépuscule (jeûne sec strict sans apport de liquide ni de nourriture) pendant plus de 14 h par jour pendant 29 jours. L'analyse quantitative du protéome a montré que les niveaux de produits protéiques du gène (GP) de l'apolipoprotéine B (APOB) étaient régulés à la baisse et avaient la plus grande signification statistique de la différence observée à la fin du jeûne sec de 4 semaines de l'aube au crépuscule (P = 0,008) et une semaine après un jeûne sec de 4 semaines de l'aube au crépuscule (P = 0,0004) par rapport aux niveaux avant le jeûne sec de 4 semaines de l'aube au crépuscule. La comparaison entre les niveaux de GP avant et à la fin d'un jeûne sec de 4 semaines de l'aube au crépuscule a montré une altération de l'expression des gènes associés à la voie des lipides et de l'athérosclérose (P = 6,014e-4) et à la signalisation des récepteurs de la lectine de type C voie (P = 1,064e-5). Les gènes exprimés de manière différentielle dans la voie des lipides et de l'athérosclérose étaient APOB (P = 0,008), CD36 (P = 0,040), CALM1, CALM2, CALM3 (P = 0,015) et HSPA8 (P = 0,047). L'un des gènes exprimés de manière différentielle dans la voie de signalisation du récepteur de la lectine de type C était la protéine 1 spécifique des lymphocytes (LSP1), qui a montré une augmentation moyenne de 19 fois à la fin d'un jeûne sec de 4 semaines de l'aube au crépuscule par rapport à les niveaux GP avant le jeûne (P = 0,004). Plusieurs GP associés à un effet suppresseur de tumeur (TUBB4B, LSP1, ACTR3B) ont été régulés à la hausse, et les GP associés à un effet promoteur de tumeur (CD36, CALM1, CALM2, CALM3, FLOT2, PPIF) ont été régulés à la baisse à la fin de l'aube de 4 semaines. le jeûne sec du crépuscule ou une semaine après un jeûne sec de l'aube au crépuscule de 4 semaines par rapport aux niveaux GP avant le jeûne sec de l'aube au crépuscule de 4 semaines. Conclusion : Sur la base de nos résultats, nous concluons que chez les sujets atteints du syndrome métabolique, le jeûne sec de 4 semaines de l'aube au crépuscule induit un protéome PMBC anti-athérosclérotique, anti-inflammatoire et anti-tumorigène. Des essais cliniques randomisés et contrôlés sont nécessaires pour étudier plus avant l'effet du jeûne sec de l'aube au crépuscule sur des sujets atteints de maladies métaboliques chroniques et de cancers induits par le syndrome métabolique. Mots clés : APOB ; apolipoprotéine B; Jeûne sec de l'aube au crépuscule ; Jeûne pendant la journée ; Jeûne diurne ; Jeûne sec; Foie gras; Jeûne intermittent; Syndrome métabolique; NAFLD ; Stéatose hépatique non alcoolique; Obésité; PBMC; Cellule mononucléaire du sang périphérique ; Protéome ; Protéomique ; Jeûne du ramadan

Forsch Komplementmed. 2013; 20 (6): 427-33. doi: 10.1159 / 000357718. Epub 2013 16 décembre.


🧪 Titre de l’étude :"Réponses anthropométriques, hémodynamiques, métaboliques et rénales pendant 5 jours de privation totale de nourriture et d’eau"

🎯 ObjectifLes chercheurs ont voulu observer ce qui se passe dans le corps lorsqu’on ne mange ni ne boit pendant 5 jours (privation totale, aussi appelée jeûne sec complet), avec un focus sur :
  • Le poids
  • Les mensurations du corps
  • Les paramètres vitaux
  • La fonction rénale

👥 Méthode10 adultes en bonne santé ont été suivis pendant 5 jours sans nourriture ni eau. Chaque jour, on mesurait :
  • Le poids
  • 7 mensurations corporelles (tour de cou, taille, hanches, thorax, etc.)
  • Paramètres vitaux (pression artérielle, rythme cardiaque, oxygénation du sang)
  • Fonction rénale (urée, créatinine, électrolytes, etc.)

📊 Résultats clés✅ Ce qui est resté stable (pas de signe de danger à court terme) :
  • Pression artérielle
  • Fréquence cardiaque
  • Taux de glucose sanguin
  • Équilibre électrolytique (sodium, potassium, chlore)
  • Saturation en oxygène
  • Osmolalité sanguine (concentration globale)
📉 Ce qui a diminué :
  • Poids : perte moyenne de 1,39 kg par jour
  • Toutes les mensurations corporelles : cou, taille, hanches, thorax – ce qui montre une réduction visible et globale du volume corporel
🔼 Ce qui a augmenté :
  • Fonction rénale : la clairance de la créatinine (un indicateur de bon fonctionnement des reins) a augmenté jusqu’à +167 % 



Réponses anthropométriques, hémodynamiques, métaboliques et rénales pendant 5 jours de privation de nourriture et d’eau soit jeune sec.
Papagiannopoulos IA1, Sideris VI, Boschmann M, Koutsoni OS, Dotsika EN.
​https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24434757
​
Informations sur l'auteur
L’Institut de médecine sociale, d'épidémiologie et d'économie de la santé, Charité - Universitätsmedizin Berlin, Allemagne.
Abstrait

CONTEXTE:
Bien que les recherches dans le domaine du jeûne et de la restriction hydrique soient nombreuses, on en sait peu sur l'impact de la privation de nourriture et d'eau sur la circonférence du corps et les paramètres vitaux.

METHODES:
Au cours de 5 jours de FWD chez 10 adultes en bonne santé, les paramètres hémodynamiques, métaboliques et rénaux, tels que le poids, 5 circonférences au cou, à la taille, aux hanches, au thorax et aux mamelons et à une nouvelle circonférence oblique des hanches ont été mesurées quotidiennement. Pour chaque circonférence, de nouveaux quotients de diminution quotidienne de la circonférence en poids ont été calculés. L'ensemble des paramètres utilisés a quantifié et contrôlé le respect et l'efficacité de la méthode par les personnes au régime.

RÉSULTATS:
Les valeurs de tension artérielle, fréquence cardiaque, saturation en oxygène de l'hémoglobine, glucose, K (+), Na (+), Cl (-), urée, créatinine et osmolalité sérique se sont révélées stables. La clairance moyenne de la créatinine a augmenté jusqu'à 167%. La diminution de poids moyenne quotidienne (1 390 ± 60 g) a démontré l'efficacité de la FWD dans la réduction de poids. La diminution quotidienne de toutes les circonférences mesurées et les valeurs des quotients de diminution correspondants de la circonférence au poids traduisaient une diminution considérable du volume de toutes les parties du corps mesurées par jour et de la perte de poids en kg au cours de la FWD.

CONCLUSION:
L’intervention de 5 jours FWD chez 10 adultes en bonne santé s’est avérée sûre, une perte de poids et toutes les circonférences mesurées, ainsi qu’une amélioration importante de la fonction rénale.

Etudes allemande et Grecque sur physiologie du jeune sec 2020.

pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31958788/
👥 Participants10 volontaires ont suivi ce jeûne sec pendant 5 jours consécutifs. Chaque jour, des analyses ont été faites sur leur sang, urine, poids et tour de taille pour observer comment leur corps s’adapte à ce stress important.

⚙️ Que se passe-t-il dans le corps pendant un jeûne sec ?L’étude met en lumière deux grands défis pour l’organisme :
  1. L’hypovolémie = diminution du volume de liquide dans le corps.
  2. L’hypertonicité = concentration accrue de substances dans le sang, due au manque d’eau.
Pour compenser cela, le corps active plusieurs mécanismes hormonaux et physiologiques, notamment :
  • Augmentation importante de certaines hormones de stress comme le cortisol (+495 %) et l’ACTH.
  • Libération de vasopressine (ADH) et d’aldostérone, qui aident à conserver l’eau.
  • Activation du système rénine-angiotensine, qui régule la pression artérielle et la rétention d’eau.

🔬 Effets observés sur le corpsCe qui a augmenté :
  • Paramètres de stress (cortisol, adrénaline, etc.)
  • Marqueurs inflammatoires (CRP)
  • Antioxydants naturels du corps
  • Cellules sanguines (plus de globules rouges et hématocrite, ce qui densifie le sang)
  • Acide urique, un sous-produit du métabolisme qui peut s'accumuler en cas de déshydratation
Ce qui a diminué :
  • Tour de taille (-8,2 cm) et poids corporel (-7 kg)
  • Érythropoïétine (stimule normalement la production de globules rouges)
  • Excrétion de sodium (Na⁺), l’organisme essayant d’en conserver
  • Vitamine C, qui chute rapidement (elle est hydrosoluble)

💡 Messages clés pour le grand public
  • Le jeûne sec déclenche une série d’adaptations très puissantes du corps, notamment pour économiser l’eau et maintenir l’équilibre.
  • À court terme, il semble avoir des effets anti-inflammatoires, antioxydants, stimulateurs du système immunitaire, et réducteurs de l’œdème (gonflements d'eau).
  • Plus de la moitié du poids perdu vient de la perte d’eau par les urines, le reste par la respiration, les selles et la transpiration invisible.

Complément Med Res. 2020 20 janvier: 1-10. doi: 10.1159 / 000505201. ]
Physiologie du jeûne sec: réponses à l'hypovolémie et à l'hypertonicité.
Papagiannopoulos-Vatopaidinos IE1, Papagiannopoulou M2, Sideris V3,4.
Informations sur l'auteur
Résumé en anglais, allemand
OBJECTIF:

Le but de cette étude était de fournir un aperçu plus approfondi de la physiologie du jeûne sec
CONCEPTION:

Dix participants ont effectué un jeûne sec pendant 5 jours consécutifs.
MÉTHODES:

Les paramètres suivants ont été contrôlés quotidiennement: cortisol, aldostérone, protéine C-réactive à haute sensibilité (CRP), érythropoïétine, albumine, acide urique et vitamine C dans le sérum; vasopressine (ADH), hormone adrénocorticotrope (ACTH), rénine, angiotensine II et capacité antioxydante totale (TAC) dans le plasma; hématocrite et érythrocytes dans le sang total; osmolalité, noradrénaline, dopamine, adrénaline, Na + et K + dans l'urine de 24 h; tour de taille et poids corporel, urinaire et des selles.
RÉSULTATS:

Les paramètres suivants ont augmenté: ADH (60 ± 11%), ACTH (176 ± 34%), cortisol (495 ± 75%), osmolalité urinaire (20 ± 4%), CRP (167 ± 77%), rénine (315 ± 63%), angiotensine II (74 ± 21%), aldostérone (61 ± 21%), TAC (80,4 ± 17%), acide urique (103 ± 19%), albumine (18,4 ± 2,4%), érythrocytes (13,4 ± 2,2%), l'hématocrite (11 ± 1,8%) et l'excrétion de noradrénaline (40,3 ± 10%) et de dopamine (17 ± 5%). Les paramètres suivants ont diminué: tour de taille (8,20 ± 0,61 cm), poids corporel (7,010 ± 0,3 kg), érythropoïétine (65 ± 18%) et excrétion d'adrénaline (38 ± 4%) et de Na + (60 ± 16%) . L'excrétion de K + est restée inchangée. La vitamine C a diminué, montrant une demi-vie de 4,8 ± 0,7 jours. Les pourcentages de perte de poids étaient les suivants: urine (52,2 ± 3,7%), perte insensible en eau (32,2 ± 1,4%), selles (5 ± 0,3%) et gaz respiratoires, c.-à-d. CO2 expiré - O2 incorporé (10,6 ± 5,4 %).
CONCLUSION:

Les mécanismes sous-jacents à la compensation d'hypertonicité et d'hypovolémie et l'analyse du rapport des composants de perte de poids ont été présentés. Le jeûne sec a démontré des effets antioxydants, anti-ischémiques, immunostimulants, anti-œdémateux et anti-inflammatoires à court terme. Les résultats peuvent avoir un impact sur le développement de nouveaux concepts pour le traitement de l'œdème, de l'obésité et des maladies inflammatoires et ischémiques.

https://www.sciencedaily.com/releases/2014/06/140605141507.htmwww.sciencedaily.com/releases/2014/06/140605141507.htm

Le jeûne déclenche la régénération des cellules souches de l'ancien système immunitaire endommagé Date: 5 juin 2014 Source: Université de Californie du Sud Résumé: Dans la première preuve d'une intervention naturelle déclenchant la régénération d'un organe ou d'un système à base de cellules souches, une étude montre que les cycles de jeûne prolongé non seulement protègent contre les dommages du système immunitaire - un effet secondaire majeur de la chimiothérapie - mais induisent également le système immunitaire régénération, faisant passer les cellules souches d'un état dormant à un état d'auto-renouvellement.

Le jeûne déclenche la régénération des cellules souches du système immunitaire endommagé et vieillissant5 juin 2014

cLe jeûne déclenche la régénération des cellules souches du système immunitaire endommagé et vieillissant5 juin 2014
Les résultats obtenus chez la souris constituent la première preuve d'une intervention naturelle déclenchant la régénération d'organes ou de systèmes dépendante des cellules souches ; la protection contre l'immunosuppression induite par la chimiothérapie indique que cet effet pourrait être conservé chez l'homme.
Contact : Suzanne Wu au (213) 740-0252 ou [email protected]
EMBARGO JUSQU'AU 5 JUIN 2014, 9 h PT/12 h ET -- Première preuve d'une intervention naturelle déclenchant la régénération d'un organe ou d'un système à partir de cellules souches, une étude publiée dans le numéro du 5 juin de la revue Cell Press Cell Stem Cell montre que des cycles de jeûne prolongé protègent non seulement contre les dommages causés au système immunitaire — un effet secondaire majeur de la chimiothérapie —, mais induisent également la régénération du système immunitaire, faisant passer les cellules souches d'un état dormant à un état d'auto-renouvellement.
Chez la souris et dans un essai clinique de phase 1 chez l'homme, de longues périodes de jeûne ont considérablement réduit le nombre de globules blancs. Chez la souris, les cycles de jeûne ont ensuite « déclenché un mécanisme de régénération » : ils ont modifié les voies de signalisation des cellules souches hématopoïétiques, responsables de la formation du sang et du système immunitaire, selon les résultats de l'étude.
Cette étude a des implications majeures pour un vieillissement en meilleure santé, car le déclin du système immunitaire contribue à une plus grande vulnérabilité aux maladies à mesure que nous vieillissons. En décrivant comment des cycles de jeûne prolongés (périodes sans nourriture pendant deux à quatre jours à la fois sur une période de six mois) tuent les cellules immunitaires âgées et endommagées et en génèrent de nouvelles, cette recherche a également des implications pour la tolérance à la chimiothérapie et pour les personnes souffrant d'un large éventail de déficiences du système immunitaire, y compris les troubles auto-immuns.
« Nous ne pouvions pas prédire que le jeûne prolongé aurait un effet aussi remarquable sur la régénération du système hématopoïétique à partir des cellules souches », a déclaré l'auteur correspondant, le Valter Longo, professeur Edna M. Jones de gérontologie et de sciences biologiques à l'USC Davis School of Gerontology et directeur de l'USC Longevity Institute.
« Lorsque vous êtes affamé, le système essaie d'économiser de l'énergie, et l'une des choses qu'il peut faire pour y parvenir est de recycler une grande partie des cellules immunitaires qui ne sont pas nécessaires, en particulier celles qui peuvent être endommagées », explique M. Longo. « Ce que nous avons commencé à remarquer dans nos travaux sur les humains et les animaux, c'est que le nombre de globules blancs diminue avec un jeûne prolongé. Puis, lorsque vous recommencez à vous alimenter, les cellules sanguines reviennent. Nous avons donc commencé à nous demander d'où cela venait. »
Un jeûne prolongé oblige l'organisme à puiser dans ses réserves de glucose, de graisses et de cétones, mais détruit également une partie importante des globules blancs. M. Longo compare cet effet à l'allègement d'un avion dont on retirerait une partie de sa cargaison.
Au cours de chaque cycle de jeûne, cette diminution du nombre de globules blancs induit des changements qui déclenchent la régénération de nouvelles cellules du système immunitaire à partir des cellules souches. En particulier, le jeûne prolongé a réduit l'enzyme PKA, un effet précédemment découvert par l'équipe de Longo pour prolonger la longévité chez des organismes simples et qui a été associé dans d'autres recherches à la régulation de l'auto-renouvellement et de la pluripotence des cellules souches, c'est-à-dire la capacité d'une cellule à se développer en de nombreux types de cellules différentes. Le jeûne prolongé a également réduit les niveaux d'IGF-1, une hormone de croissance que Longo et d'autres ont associée au vieillissement, à la progression des tumeurs et au risque de cancer.
« La PKA est le gène clé qui doit être désactivé pour que ces cellules souches passent en mode régénératif. Il donne le feu vert aux cellules souches pour qu'elles se multiplient et reconstruisent l'ensemble du système », explique Longo, soulignant le potentiel des applications cliniques qui imitent les effets du jeûne prolongé pour rajeunir le système immunitaire. « Et la bonne nouvelle, c'est que pendant le jeûne, le corps se débarrasse des parties du système qui pourraient être endommagées ou vieillissantes, les parties inefficaces. Désormais, si vous partez d'un système fortement endommagé par la chimiothérapie ou le vieillissement, les cycles de jeûne peuvent littéralement générer un nouveau système immunitaire. »
Le jeûne prolongé a également protégé contre la toxicité lors d'un essai clinique pilote dans lequel un petit groupe de patients a jeûné pendant 72 heures avant une chimiothérapie, prolongeant ainsi les recherches influentes menées par Longo : « Si la chimiothérapie sauve des vies, elle cause également des dommages collatéraux importants au système immunitaire. Les résultats de cette étude suggèrent que le jeûne pourrait atténuer certains des effets néfastes de la chimiothérapie », a déclaré la co-auteure Tanya Dorff, professeure adjointe de médecine clinique au Norris Comprehensive Cancer Center and Hospital de l'USC. « D'autres études cliniques sont nécessaires, et toute intervention alimentaire de ce type ne doit être entreprise que sous la supervision d'un médecin. »
« Nous étudions la possibilité que ces effets s'appliquent à de nombreux systèmes et organes différents, et pas seulement au système immunitaire », a déclaré M. Longo, dont le laboratoire mène actuellement des recherches supplémentaires sur les interventions alimentaires contrôlées et la régénération des cellules souches dans le cadre d'études animales et cliniques.
Cette étude a été financée par l'Institut national du vieillissement des Instituts nationaux de la santé (numéros de subvention : AG20642, AG025135, P01AG34906). L'essai clinique a été financé par la Fondation V et l'Institut national du cancer des Instituts nationaux de la santé (numéro de subvention P30CA014089).
Chia Wei-Cheng, de l'École de gérontologie Davis de l'USC, est le premier auteur de l'étude. Gregor Adams, Xiaoying Zhou et Ben S. Lam, du Centre Broad pour la médecine régénérative et la recherche sur les cellules souches de l'USC ; Laura Perin et Stefano Da Sacco, de l'Institut de recherche Saban de l'Hôpital pour enfants de Los Angeles ; Min Wei, de l'École Davis de l'USC ; Mario Mirisola, de l'Université de Palerme ; Dorff et David Quinn de la Keck School of Medicine de l'USC ; et John J. Kopchick de l'université de l'Ohio ont co-signé cette étude.
Pour plus d'informations ou pour demander un entretien avec le professeur Valter Longo, veuillez contacter Suzanne Wu à l'adresse [email protected].
https://today.usc.edu/fasting-triggers-stem-cell-regeneration-of-damaged-old-immune-system/?utm_source=chatgpt.com


Résultat conclusions de l’étude en jeune sec sur pathologies pulmonaire asthme, obesité, syndrome métabolique.
CONCLUSIONS 1. Selon nos données, la polymorbidité des maladies internes se manifeste par le fait que la BA est associée à d'autres pathologies des organes internes dans 72,4 à 77,5% des cas selon les données cliniques et dans 60% des cas - selon aux résultats d'un examen post mortem. La maladie coronarienne est une pathologie concomitante fréquente. 2. Le TDR peut être la méthode de choix dans le traitement de la pathologie combinée, lorsque plusieurs médicaments sont simultanément prescrits au patient et lorsque le traitement des patients BA est compliqué par des allergies médicamenteuses multivalentes, une intolérance individuelle à certains médicaments ou des réactions indésirables à ceux-ci. 3. Dans les conditions indiquées, la technique RDT peut être également utilisée dans le traitement des principales variantes BA cliniques / pathogéniques, améliorant le bien-être et l'état des patients, bien que la tendance à l'hypersensibilité bronchique (selon le test d'inhalation avec de l'acétylcholine) reste après le traitement. Le jeûne thérapeutique de 3 jours (sec et humide) est une option de traitement limitée dans le temps qui provoque certains changements dans les facteurs de résistance non spécifiques du corps du patient. 4.
 Le jeûne sec de 3 jours est bien toléré par les patients, améliore leur bien-être et leur état: les crises d'asthme disparaissent ou deviennent plus tolérables et plus rares, les indicateurs de la fonction respiratoire s'améliorent. Aucun changement indésirable dans la pathologie interne des organes n'a été observé. Comparé au jeûne humide, un début de crise acidotique plus précoce a été enregistré. 5. Dans une étude comparative des facteurs humoraux de résistance non spécifique dans 2 groupes de patients BA (jeûne sec de 3 jours et jeûne humide de 3 jours), aucune différence significative des paramètres étudiés n'a été observée, à l'exception du complément de sérum sanguin, le niveau dont diminué de manière significative après le jeûne. 6. L'association de jeûnes secs et humides de 3 jours est bien tolérée par les patients asthmatiques, en présence d'une pathologie interne des organes, a un effet thérapeutique tout en réduisant la durée totale du TDR et en optimisant sa durée. 7.En comparant les résultats immédiats du TDR et le traitement traditionnel des patients BA avec des pathologies concomitantes d'autres organes et systèmes, les meilleurs résultats ont été obtenus avec l'utilisation du TDR. Le TDR a conduit à une rémission plus longue chez les patients souffrant d'asthme qui est associée à des pathologies d'autres organes et systèmes, par rapport au traitement traditionnel. RECOMMANDATIONS PRATIQUES 1. Compte tenu des difficultés importantes à traiter les patients atteints de BA dans des conditions de polymorbidité, l'application du TDR est conseillée compte tenu des indications et contre-indications de cette méthode. 2. Étant donné la tolérance élevée au jeûne sec de 3 jours, la survenue plus précoce d'une crise acidotique, qui est suivie par l'amélioration clinique et l'amélioration de la fonction respiratoire, l'option de traitement plus courte peut être utilisée pour prévenir et traiter la BA, en particulier les patients avec concomitance. obésité ou œdème. 3. Le moment et l'effet optimaux sont fournis par l'utilisation combinée du jeûne sec de 3 jours et du jeûne humide de 7 jours, qui peuvent être utilisés dans le traitement médical des patients souffrant d'asthme combiné à la pathologie d'autres organes et systèmes, en tenant compte de la indications et contre-indications au TDR. 4. Avant de procéder au TDR, il est conseillé de tester le sang du patient pour le nombre de leucocytes, de complément, de β-lysines et de lysozyme. Le TDR doit être évité chez les patients atteints de leucémie et de lymphopénie et chez ceux présentant de faibles niveaux de complément, de lysozyme et de β lysines dans le sang.


. PERTINENCE DE LA RECHERCHE L'association simultanée de plusieurs maladies chez un même patient est caractéristique de la présentation clinique actuelle des maladies internes (N.V. Elshtein, 1984, 1986). Cela s'applique également à l'asthme bronchique (BA), qui est souvent associé à d'autres pathologies des organes internes (A. N. Kokosov, S. G. Osinin, 1984). Dans ce cas, de nombreux médicaments sont prescrits à un patient en même temps pour traiter plusieurs maladies. Selon de nombreuses données, il existe souvent de multiples pathologies concomitantes d'autres organes et systèmes chez les patients BA, telles que des allergies à certains aliments, médicaments, produits chimiques ménagers, etc., ainsi que des pathologies métaboliques concomitantes (obésité, diabète sucré), maladie hypertensive , lésions de la peau et du tractus gastro-intestinal avec une composante allergique, etc. (A.N. Kokosov, 1978; A.N. Kokosov, S.G. Osinin, 1984; L.I. Verchenko et al., 1986; T.A. Zhadova, 1986; A. B. Gandin et al., 1986; Yu.S. Nikolaev et al. Tue., 1986 ; G.V. Trubnikov et al., 1986 ; L.N. Tislenko et al., 1986 ; L.D. Kunitsa et al., 1986 ; Vivini, 1964, etc.). L'hypersensibilité à un certain nombre de médicaments survient fréquemment chez les patients BA. Lorsqu'elle est associée à d'autres maladies, cette affection complique et limite les options de traitement médicamenteux (A.N. Kokosov, 1978 ; A.N. Kokosov et al., 1984 ; A.N. Kokosov, 1986). À la recherche de solutions à cette situation, nous avons eu recours à une méthode de traitement non médicamenteuse, à savoir le jeûne thérapeutique (RDT)1, qui, selon les recherches (A. N. Kokosov, S. G. Osinin, 1984) peut être utile dans les combinaisons de BA avec d'autres maladies, d'autant plus qu'il existe de nombreuses données sur l'effet positif du TDR sur les pathologies concomitantes avec BA (A.N. Kokosov, S.G. Osinin, 1984; Yu.S. Nikolaev, et al., 1986; V.V. Lobkov et al., 1986; Wildenhaft et al., 1964 ; Vivini, 1964). Il a été noté que lorsque le TDR est utilisé après une crise d'acidose, les patients ont tendance à ressentir un soulagement de la respiration et une amélioration de l'état de santé général (A.N. Kokosov, S.G. Osinin, 1984). UN. Kokosov (1986) fournit ses propres observations lorsque le jeûne sec accélère la crise acidosique, qui survient dès le deuxième ou le troisième jour. Cette condition nous a poussés à optimiser la méthode RDT en termes de temps en réalisant successivement un jeûne sec de 3 jours et un jeûne humide de 7 jours, ce qui devrait accélérer l'apparition de la crise acidosique et raccourcir le temps de traitement. Dans certains cas, les résultats peuvent être similaires à ceux d'un cours traditionnel de RDT relativement long. OBJECTIF DE LA RECHERCHE Justifier la faisabilité clinique de l'utilisation du jeûne thérapeutique (RDT) chez les patients atteints de BA et de pathologies organiques internes (multiples) concomitantes. OBJECTIFS DE L'ENQUÊTE 1. Développer une combinaison rationnelle (en termes de temps) de jeûne sec et humide afin d'optimiser l'effet thérapeutique, avec une réduction de la durée du traitement. 2. Comparer l'effet du jeûne sec et humide de 3 jours sur la fonction de la respiration externe (selon les indicateurs clés) et de l'immunité non spécifique (selon les résultats des tests de lysozyme, de complément et de β-lysine). 3. Étudier l'effet du TDR sur l'hypersensibilité bronchique d'après les résultats du test à l'acétylcholine (avant et après le jeûne). 4. Comparez les résultats immédiats et à long terme (selon les données du questionnaire) du TDR et du traitement traditionnel dans les cas où l'AB est associée à des lésions d'autres organes et systèmes. _________________________ 1L'abréviation « RDT » utilisée dans cet article est couramment utilisée par les médecins de l'école de jeûne russe. Le terme a été introduit par Yuri Nikolaev dans les années 1960 et est synonyme du concept de jeûne thérapeutique
 
.3 NOUVEAUTÉ ACADÉMIQUE 1. Pour la première fois, un grand nombre d'observations cliniques prouvent que le TDR est la méthode de choix lors du traitement de la BA associée à de multiples pathologies d'autres organes et systèmes selon les résultats de l'analyse de l'immédiat et à long terme résultats du traitement. 2. Pour la première fois, une étude comparative du jeûne sec et humide de 3 jours de patients atteints de BA a été menée du point de vue des comparaisons cliniques/fonctionnelles et cliniques/immunologiques, révélant un effet plus fort du jeûne sec sur le corps, et son contribution à l'apparition plus précoce de la crise acidosique. 3. Pour la première fois, la signification clinique de la combinaison d'un jeûne sec de 3 jours et d'un jeûne humide de 7 jours en tant qu'option de TDR qui optimise le moment de cette méthode de traitement a été étudiée et démontrée. SIGNIFICATION PRATIQUE DE LA RECHERCHE Il a été établi que le jeûne thérapeutique (TDR) peut être la méthode de traitement de choix pour les patients atteints de BA présentant des pathologies concomitantes d'autres organes et systèmes, et une sensibilité et une intolérance accrues à plusieurs médicaments, ce qui limite les options de prescription de médicaments. La signification clinique de la combinaison d'un jeûne sec de 3 jours et d'un jeûne humide de 7 jours chez les patients atteints de BA est une variante du TDR qui permet d'optimiser les résultats de cette méthode de traitement. PRINCIPAUX CONCEPTS À L'ÉTUDE :1. Le jeûne thérapeutique (RDT) est la méthode de choix dans le traitement des patients BA avec des pathologies d'organes internes concomitantes. 2. Une étude comparative du jeûne sec et humide de 3 jours de patients BA a révélé des changements positifs équivalents dans l'état et le bien-être des patients présentant un début précoce de crise acidotique pendant le jeûne sec. 3. La combinaison d'un jeûne sec de 3 jours et d'un jeûne humide de 7 jours chez les patients atteints de BA permet d'optimiser la durée du TDR. Application des résultats de la recherche Une méthode combinant un jeûne sec de 3 jours et un jeûne humide de 7 jours (une variante du TDR), qui optimise le temps de traitement des patients souffrant d'asthme et de pathologies d'autres organes et systèmes, a été introduite dans le protocole de traitement clinique pour ces patients dans le service pulmonaire du poste sanitaire médical n ° 2 à Perm, en Russie. Évaluation du mémoire Le contenu du mémoire a été présenté aux conférences scientifiques et pratiques de la Station Sanitaire Médicale #2 et du Département de Médecine Interne de la Faculté Sanitaire et Hygiénique de l'Institut Médical de Perm en 1985-1988, à la section de pneumologie de la Société scientifique des internistes de Leningrad (1989), 3e Congrès des internistes de la région de Perm sur les «Questions d'actualité dans le diagnostic, le traitement et la prévention des maladies des organes internes» à Perm (1989), lors d'une conférence scientifique et pratique dans l'Oural Institut pour l'avancement des médecins à Tcheliabinsk (1990). 8 articles scientifiques ont été publiés sur le sujet de la thèse, 5 d'entre eux - dans les collections de l'Institut panrusse de recherche pulmonaire du ministère de la Santé de l'URSS, un dans les résumés collectés du II Congrès des internistes du Kirghizistan, un dans la collection «Traitement, soins d'urgence, prévention des maladies pulmonaires non spécifiques» (Saratov) et un dans les résumés collectés du III Congrès des internistes de la région de Perm
 
3 NOUVEAUTÉ ACADÉMIQUE 1. Pour la première fois, un grand nombre d'observations cliniques prouvent que le TDR est la méthode de choix lors du traitement de la BA associée à de multiples pathologies d'autres organes et systèmes selon les résultats de l'analyse de l'immédiat et à long terme résultats du traitement. 2. Pour la première fois, une étude comparative du jeûne sec et humide de 3 jours de patients atteints de BA a été menée du point de vue des comparaisons cliniques/fonctionnelles et cliniques/immunologiques, révélant un effet plus fort du jeûne sec sur le corps, et son contribution à l'apparition plus précoce de la crise acidosique. 3. Pour la première fois, la signification clinique de la combinaison d'un jeûne sec de 3 jours et d'un jeûne humide de 7 jours en tant qu'option de TDR qui optimise le moment de cette méthode de traitement a été étudiée et démontrée. SIGNIFICATION PRATIQUE DE LA RECHERCHE Il a été établi que le jeûne thérapeutique (TDR) peut être la méthode de traitement de choix pour les patients atteints de BA présentant des pathologies concomitantes d'autres organes et systèmes, et une sensibilité et une intolérance accrues à plusieurs médicaments, ce qui limite les options de prescription de médicaments. La signification clinique de la combinaison d'un jeûne sec de 3 jours et d'un jeûne humide de 7 jours chez les patients atteints de BA est une variante du TDR qui permet d'optimiser les résultats de cette méthode de traitement. PRINCIPAUX CONCEPTS À L'ÉTUDE :1. Le jeûne thérapeutique (RDT) est la méthode de choix dans le traitement des patients BA avec des pathologies d'organes internes concomitantes. 2. Une étude comparative du jeûne sec et humide de 3 jours de patients BA a révélé des changements positifs équivalents dans l'état et le bien-être des patients présentant un début précoce de crise acidotique pendant le jeûne sec. 3. La combinaison d'un jeûne sec de 3 jours et d'un jeûne humide de 7 jours chez les patients atteints de BA permet d'optimiser la durée du TDR. Application des résultats de la recherche Une méthode combinant un jeûne sec de 3 jours et un jeûne humide de 7 jours (une variante du TDR), qui optimise le temps de traitement des patients souffrant d'asthme et de pathologies d'autres organes et systèmes, a été introduite dans le protocole de traitement clinique pour ces patients dans le service pulmonaire du poste sanitaire médical n ° 2 à Perm, en Russie. Évaluation du mémoire Le contenu du mémoire a été présenté aux conférences scientifiques et pratiques de la Station Sanitaire Médicale #2 et du Département de Médecine Interne de la Faculté Sanitaire et Hygiénique de l'Institut Médical de Perm en 1985-1988, à la section de pneumologie de la Société scientifique des internistes de Leningrad (1989), 3e Congrès des internistes de la région de Perm sur les «Questions d'actualité dans le diagnostic, le traitement et la prévention des maladies des organes internes» à Perm (1989), lors d'une conférence scientifique et pratique dans l'Oural Institut pour l'avancement des médecins à Tcheliabinsk (1990). 8 articles scientifiques ont été publiés sur le sujet de la thèse, 5 d'entre eux - dans les collections de l'Institut panrusse de recherche pulmonaire du ministère de la Santé de l'URSS, un dans les résumés collectés du II Congrès des internistes du Kirghizistan, un dans la collection «Traitement, soins d'urgence, prévention des maladies pulmonaires non spécifiques» (Saratov) et un dans les résumés collectés du III Congrès des internistes de la région de Perm
 
 
 5 fluorographie de projection a été réalisée (directe, côté droit et côté gauche), ainsi qu'un test d'expectoration général et mycobactérien de la tuberculose et une électrocardiographie. Les méthodes de recherche spéciales comprenaient le test de la fonction respiratoire externe avec spirographie et pneumotachymétrie avec l'examen et l'évaluation des principaux indicateurs (VC, VC% ; FEV, VC ; MVL% ); la réactivité bronchique a été étudiée à l'aide d'un test pharmacologique avec des inhalations d'acétylcholine à doses croissantes ; l'étude des facteurs humoraux de résistance non spécifique (complément, lysozyme, β-lysines, facteur interféron antibactérien), une numération des lymphocytes T. Pour étudier la réactivité bronchique, les patients ont été examinés lors de l'exacerbation ou de la rémission de la maladie en dehors des crises d'asthme avant et après le TDR. Les études ont été réalisées à un moment précis de la journée entre 11 h et 14 h. L'inhalation d'acétylcholine dissoute dans de l'eau distillée a été utilisée comme test de provocation pharmacologique. En l'absence de réaction bronchique au solvant, le patient a inhalé des doses croissantes d'une solution d'acétylcholine à partir de 100 μg. En l'absence de réaction bronchoconstrictrice prononcée, la dose était progressivement augmentée à 200, 500, 1000, 2000, 5000 ou 10000 μg jusqu'à atteindre la valeur seuil (aggravation de l'obstruction bronchique de 20% selon les résultats de la pneumotachymétrie), après quoi des études des principaux indicateurs de la fonction respiratoire externe ont été examinés (Chuchalin A.G., 1985 ; Martin G.L., 1987). Les facteurs de résistance humoraux non spécifiques ont été déterminés par des méthodes classiques ; le niveau de complément – par 50% d'hémolyse (Reznikova L.S., 1967), et le niveau de lysozyme – par la méthode néphélométrique (Dorofeychuk V.G. 1968). Afin de déterminer le taux de β-lysines, nous avons utilisé la méthode proposée par Boukharine O.V. et coll. (1970). Pour déterminer l'activité bactéricide du sérum, nous avons utilisé la méthode proposée par I. Smirnova et T. N. Kuzminova (1966). La particularité de cette méthode est l'utilisation d'une culture bactérienne test St. epidermidis #33 pour déterminer l'activité des préparations d'interféron (Pecherkina S. A., 1981). L'effet bactériostatique de l'interféron sur St. epidermidis #33 dû au facteur antibactérien de l'interféron a permis d'évaluer indirectement le titre d'interféron (Maleeva L. I., 1986). La numération des lymphocytes T avant et après le traitement a été effectuée en utilisant la technique de formation spontanée de rosettes (Lay et Nussenzweig V, 1968). Méthodes de traitement 1. Chez 225 patients asthmatiques associés à d'autres pathologies des organes internes et conditions pathologiques (le groupe d'observation principal), le traitement a consisté en une pharmacothérapie conventionnelle, comme dans le groupe de patients atteints de BA sans pathologies concomitantes (groupe d'observation témoin - 94 personnes). 2. 120 patients atteints de BA ont subi un TDR selon la méthode développée à l'Institut panrusse de recherche scientifique en pneumologie du ministère de la Santé de l'URSS (ASPRI). Dans ce groupe de patients, 77,5% des patients BA présentaient des pathologies concomitantes et des états pathologiques des organes internes. 3. Des jeûnes secs de 3 jours et des jeûnes humides de 7 jours ont été menés consécutivement dans un groupe de 30 patients. Le but de l'utilisation d'une combinaison de jeûne sec et humide était de réduire la durée globale du TDR. La méthode du jeûne sec implique une abstinence complète de nourriture et d'eau pendant 3 jours. A 18 heures le jour précédant le début du jeûne, tout comme avec la méthode traditionnelle (humide), le patient prend 60 g de sulfate de magnésium dissous dans 200 ml d'eau et, après la fin de l'action laxative, se couche. Le régime du patient ne diffère pas de celui prévu par la méthode du jeûne humide. Les lavements nettoyants ne sont pas effectués au cours des 3 jours, ce qui était une autre caractéristique de cette technique. Au bout de 3 jours (à 18 heures), le patient a été autorisé à boire de l'eau jusqu'à ce que sa soif soit complètement étanchée. À partir du 4e jour du jeûne, la consommation d'eau était illimitée et des lavements de nettoyage étaient pratiqués pendant le reste de la période de jeûne, c'est-à-dire jusqu'au 10e jour. Le temps de sortie du jeûne correspondait à la période de récupération associée au jeûne. technique traditionnelle de TDR. CARACTÉRISTIQUES DES PATIENTS BA TRAITÉS À L'HÔPITAL Groupe d'observation principal Le groupe d'observation principal était composé de 225 patients BA avec des pathologies concomitantes des organes internes et d'autres états pathologiques. Il y avait 2 à 12 maladies coexistantes chez chaque patient. Elles comprenaient diverses pathologies du système cardiovasculaire (hypertension, coronaropathie, athérosclérose, cardiopathie rhumatismale) ; tractus gastro-intestinal (gastrite, cholécystite, ulcère peptique de l'estomac et du duodénum, pancréatite, hépatite), système urinaire (glomérulonéphrite, pyélonéphrite, lithiase urinaire), métabolisme (diabète sucré, obésité, polyarthrite déformante), voies respiratoires supérieures (rhinite vasomotrice, polypes nasaux , amygdalite, sinusite); peau (eczéma, psoriasis, névrodermite), diverses manifestations d'allergies (médicinales, hou
 
ont signalé une récidive des crises d'asthme. Chez 41 patients (75,9 %), les crises sont survenues à la fois le jour et la nuit. Aucun patient n'a eu de crises d'asthme uniquement le jour et 9 patients (16,7 %) ont eu des crises d'asthme uniquement la nuit. Sur les 4 patients qui n'avaient pas eu de crise d'asthme au moment de l'enquête, deux (3,7%) ne prenaient aucun médicament. 19 patients prenaient des médicaments 1 à 2 fois par jour pour prévenir ou soulager les crises d'asthme (35,3 %) ; 24 – plus de 4 fois par jour (44,4 %) ; 9 – plusieurs fois (16,7 %). Parmi ces patients, 24 (44,4 %) prenaient des hormones glucocorticostéroïdes de façon permanente. Chez 19 (35,2%) patients, l'essoufflement a continué à persister, chez 34 (63%) - l'essoufflement n'a été observé qu'au cours de l'effort physique ; un patient (1,8 %) ne présentait pas d'essoufflement. La tolérance à l'effort un an après la sortie de l'hôpital est restée la même chez 24 (44,4 %) ; augmenté dans 24 autres (44,4%); et diminué chez 6 (11,2 %) patients. L'absence de crises d'asthme dans le mois suivant la sortie de l'hôpital a été observée chez 35 (64,8 %) ; jusqu'à 3 mois - sur 7 (13%); jusqu'à 6 mois - sur 4 (7,4%); jusqu'à 9 - sur 5 (9,3%); jusqu'à et plus d'un an - chez 3 (5,5%) patients. 26 (48,1%) patients ont noté que leurs exacerbations ultérieures de BA étaient plus facilement tolérées que par le passé, 22 (40,7%) les ont trouvées de gravité similaire et 6 (11,2%) – plus sévères. Deux patients (3,7 %) ont dû changer d'emploi en raison de l'aggravation de la BA, et deux autres (3,7 %) se sont vu attribuer une incapacité de classe II. L'état de santé général s'est amélioré chez 28 (51,8 %), est resté le même chez 20 (37 %) et s'est aggravé chez 6 (11,2 %) patients. Chez 40 (74%) patients, un an après la sortie de l'hôpital, les crises d'asthme continuaient d'être associées à des odeurs âcres et irritantes, chez 3 (5,6%) patients ce lien a disparu ; 11 (20,4%) n'avaient pas de connexion initiale. L'absorption d'asthme a continué à se produire en raison de la consommation de certains aliments chez 24 (44,4 %) patients. Dans 30 (55,6 %) cas, cette tendance n'a pas été observée. La thérapie traditionnelle n'a pas affecté l'hypersensibilité bronchique à l'inhalation d'air froid; un an après le traitement, chez les patients avec BA et sans pathologies concomitantes, dans 44 (81,5%) cas, les crises d'asthme en réaction à l'inhalation d'air froid ont persisté. De plus, après le traitement, il n'y a pas eu un seul cas où les crises d'asthme en réponse à l'effet irritant de l'air froid ont disparu. Le maintien du facteur neuropsychologique comme l'une des causes des crises d'asthme, a été indiqué par 27 (50 %) patients ; les autres patients n'ont pas signalé une telle connexion. RÉSULTATS DU TRAITEMENT TDR DES PATIENTS AVEC BA Le TDR a été appliqué dans 120 cas de patients avec BA, dont 77,5% des cas présentaient des pathologies d'organes internes concomitantes. Ce groupe était composé de 44 hommes et 76 femmes âgés de 18 à 68 ans (0-20 ans - 1 personne, 20-29 ans - 15, 30-39 ans - 36 ; 40-49 ans - 32 ; 50-59 ans - 32; 60-69 ans - 4 personnes); c'est-à-dire que 95,8 % des patients étaient âgés de 20 à 59 ans ; Les patients de 0 à 20 ans représentaient 0,8 %, ceux de 60 à 69 ans - 3,4 %. IDBA a été diagnostiqué chez 69 (57,5%), ABA chez 7 (5,8%) ; une association de ces formes a été observée chez 44 (36,7 %) patients. 13 (10,8%) des patients présentaient une forme bénigne de la maladie, 67 (55,8%) – une forme modérée, et 40 (33,4%) patients – une forme sévère. La durée de la maladie variait de six mois à 33 ans. Jusqu'à 1 an – 4 patients ; 1 à 3 ans – 32 patients ; 4-6 ans – 31 patients ; 7-10 ans – 26 patients ; 11-15 ans – 10 patients ; 16-20 ans – 8 patients ; 21-25 ans – 4 patients ; 26-30 ans – 4 ; 31 ans et plus –1 patient. En d'autres termes, 77,5 % des patients présentaient une maladie ayant duré entre six mois et 10 ans (durée moyenne 0,6 an). 22,5 % ont présenté une maladie qui a duré entre 11 et 33 ans (durée moyenne - 12,3 ans). Dans 39 cas (32,5 %), les patients avaient une dépendance dite aux corticoïdes, avec une dose d'entretien d'hormones allant de 1,25 à 22,5 mg (principalement de la prednisone). 9 De plus, seuls 10 patients les ont pris jusqu'à 2 ans. Le délai de prise d'hormones par d'autres patients était supérieur à 2 ans. L'association de l'AB avec une autre pathologie était très différente : dans 19 cas, l'AB était associée à une pathologie cardiovasculaire ; chez 35 - avec une pathologie du tractus gastro-intestinal, chez 37 - avec une obésité de stade 2-3, chez 76 - avec des allergies médicamenteuses, alimentaires (sélectives) ou domestiques, ou leurs diverses combinaisons; 10 - avec pathologie rénale; dans 52 - avec pathologie du nasopharynx; 10 - avec pathologie cutanée; en 9 - avec le rhume des foins. Dans des cas isolés, la BA était associée à une ostéochondrose, une polyarthrite déformante, une thrombophlébite des membres inférieurs. Un patient de ce groupe a combiné de 2 à 9 maladies à la fois. Le TDR dans ce groupe de patients a été effectué selon la méthodologie développée à l'ASPRI du ministère de la Santé de l'URSS. Les résultats immédiats du traitement étaient les suivants : excellents - chez 78 (65 %) ; bon dans
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Le jeûne sec de 3 jours est bien toléré par les patients, améliore leur bien-être et leur état : les crises d'asthme disparaissent ou deviennent plus tolérables et plus rares, les indicateurs de la fonction respiratoire s'améliorent.
Aucun changement indésirable dans la pathologie concomitante des organes internes n'a été observé. Par rapport au jeûne humide, un début de crise acidotique plus précoce a été enregistré. 5. Dans une étude comparative des facteurs humoraux de résistance non spécifique dans 2 groupes de patients BA (3 jours de jeûne sec et 3 jours de jeûne humide), aucune différence significative des paramètres étudiés n'a été observée, à l'exception du complément sérique sanguin, le niveau qui a diminué de manière significative après le jeûne. 6. La combinaison de jeûnes secs de 3 jours et de jeûnes humides de 7 jours est bien tolérée par les patients asthmatiques, en présence d'une pathologie organique interne concomitante, a un effet thérapeutique tout en réduisant la durée totale du TDR et en optimisant sa durée. 7.En comparant les résultats immédiats du TDR et du traitement traditionnel des patients BA avec des pathologies concomitantes d'autres organes et systèmes, les meilleurs résultats ont été obtenus avec l'utilisation du TDR. Le TDR a conduit à une rémission plus longue chez les patients asthmatiques qui est associée à des pathologies d'autres organes et systèmes, par rapport au traitement traditionnel. RECOMMANDATIONS PRATIQUES 1. Compte tenu des difficultés importantes à traiter les patients atteints de BA dans des conditions de polymorbidité, l'application du TDR est conseillée en tenant compte des indications et contre-indications de cette méthode. 2. Compte tenu de la tolérance élevée au jeûne sec de 3 jours, de la survenue précoce d'une crise acidotique, suivie d'une amélioration clinique et d'une amélioration de la fonction respiratoire, l'option de traitement plus courte peut être utilisée pour prévenir et traiter l'AB, en particulier les patients atteints d'hypoglycémie concomitante. l'obésité ou l'œdème. 3. Le moment et l'effet optimaux sont fournis par l'utilisation combinée d'un jeûne sec de 3 jours et d'un jeûne humide de 7 jours, qui peuvent être utilisés dans le traitement médical des patients asthmatiques combinés à la pathologie d'autres organes et systèmes, en tenant compte de la indications et contre-indications au TDR. 4. Avant d'effectuer un TDR, il est conseillé de tester le sang du patient pour le nombre de leucocytes, de complément, de β-lysines et de lysozyme. Le TDR doit être évité chez les patients atteints de leucémie et de lymphopénie, et chez ceux qui ont de faibles niveaux de complément, de lysozyme et de β lysines dans le sang.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29727683/pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29727683/
Résumé études Yilmaz - Le jeûne stimule les cellules souches
Le régime alimentaire a un effet profond sur la régénération des tissus dans divers organismes, et les états hypocaloriques tels que le jeûne intermittent ont des effets bénéfiques sur la santé de l'organisme et la perte de fonction tissulaire associée à l'âge.
Le rôle des cellules souches et progénitrices adultes dans la réponse au jeûne à court terme et si ces réponses améliorent la régénération ne sont pas bien étudiés. Ici, nous montrons qu'un jeûne de 24 heures augmente la fonction des cellules souches intestinales (ISC) chez les souris jeunes et âgées en induisant un programme d'oxydation des acides gras (FAO) et que l'activation pharmacologique de ce programme imite de nombreux effets du jeûne. La perturbation génétique aiguë de Cpt1a, l'enzyme limitant le débit de la FAO, annule les effets d'amélioration de l'ISC du jeûne, mais la suppression à long terme de Cpt1a diminue le nombre et la fonction de l'ISC, impliquant un rôle pour la FAO dans le maintien de l'ISC. Ces résultats mettent en évidence le rôle de la FAO dans la médiation des effets pro-régénératifs du jeûne dans la biologie intestinale, et ils peuvent représenter une stratégie viable pour améliorer la régénération intestinale. Mots clés : vieillissement ; jeûne; oxydation des acides gras; cellules souches intestinales; intestin; métabolisme; métabolisme mitochondrial; cellules souches.

Etudes  jeune sec intermitent et métaux lourds

Effet du jeûne intermittent sur la désintoxication des métaux lourds
www.researchgate.net/publication/278022873_Effect_of_intermittent_fasting_on_heavy_metal_detoxification

juin 2009 Auteurs: Khaled Saad Université Tanta Tarek Elnemr Demander le texte intégral du PDF papier Pour lire le texte intégral de cette recherche, vous pouvez demander une copie directement aux auteurs. Télécharger la citation Abstrait La désintoxication est un processus d'élimination ou de neutralisation des toxines du corps par le côlon, le foie, les reins, les poumons, les ganglions lymphatiques et la peau. On s'attend à ce que le jeûne précipite ce processus car, lorsque la nourriture ne pénètre plus dans le corps, ce dernier a plus de chances de se nettoyer des toxines. Le but de cette étude était de déterminer l'effet du jeûne sur la désintoxication des métaux lourds. Quarante hommes volontaires en bonne santé âgés de 25 à 58 ans, ayant jeûné pendant le Ramadan, ont participé à cette étude. Des prélèvements sanguins ont été effectués 2 jours avant le Ramadan et les 14 et 28 jours du Ramadan. De plus, des échantillons de cheveux du cuir chevelu ont été prélevés à la fin du Ramadan et ont été divisés en segments distaux et segments proximaux de 5 à 15 mm. Il y avait une diminution significative des taux sanguins de mercure, de chrome, d'aluminium, de manganèse et de cobalt après un jeûne de 14 jours et 28 jours, une réduction significative de la plombémie après un jeûne de 28 jours. Il y avait une réduction insignifiante des taux sanguins de cadmium et de cuivre après le jeûne. Concernant les oligo-éléments, il y a eu une diminution significative du taux sanguin de zinc après un jeûne de 28 jours et une diminution insignifiante du taux sanguin de sélénium après le jeûne. L'analyse des métaux lourds dans les cheveux a révélé une diminution significative des niveaux de plomb, de cadmium, de mercure, d'aluminium et de manganèse entre les parties proximale et distale des cheveux. Le même résultat a été rapporté pour les niveaux de zinc et de sélénium. Il y avait une corrélation statistiquement significative entre les niveaux de plomb, d'aluminium et de sélénium dans le sang et les cheveux. Des recherches supplémentaires sur l'effet du jeûne sur les patients présentant un niveau élevé de métaux toxiques et ceux sous traitement chélateur sont recommandées.
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Le Dr Chennikov a effectué une étude clinique en 1992 validée par le gouvernement de Russie.

 Méthode de jeûne sec (dry fasting) – Protocole de réhabilitation corporelleSource : dryfastingclub.com
Cette méthode est présentée comme une technique de réhabilitation visant à « nettoyer » l’organisme et traiter divers troubles :
hypertension, asthme, arthrite, troubles digestifs, obésité, etc.

1. Durée du jeûneLe protocole prévoit un jeûne sec complet de 7 à 11 jours, sans aucun apport en eau ni en aliments.
Les premiers essais recommandent de commencer par 5 à 7 jours, selon l’état de santé du participant.

2. Phase de préparation (2 jours avant le jeûne)
  • Alimentation exclusivement composée de légumes crus (aucune cuisson).
  • Souvent accompagnée d’un lavement intestinal pour nettoyer le côlon.
  • Il est conseillé d’éviter le stress, les distractions (ex. télévision), et les chocs émotionnels.

3. Pendant le jeûne
  • Aucune nourriture, aucun liquide, aucun contact avec l’eau (bains interdits au début).
  • Activités autorisées :
    • Marche lente
    • Travail léger
    • Respiration nasale
    • Silence et repos
    • Éviter tout mouvement brusque
    • Aucun médicament autorisé
  • À partir du 3ᵉ jour : bains froids ou immersion dans l’eau sont permis (sans ingestion).

4. Suivi des symptômes (jour par jour)JourSymptômes observésJours 1 à 3Faim, fatigue, vertiges, nausées, baisse de tension, troubles du sommeil
Jours 4 à 5Douleurs possibles (organes), légère fièvre, odeurs corporelles accentuées, nettoyage physiologique
Jours 6 à 7Amélioration de l’état émotionnel, soulagement, urine foncée
Jours 8 à 9Crise thérapeutique : maux de tête, fièvre, extrémités froides, palpitations cardiaques (pic d’efficacité autour du 9e jour)
Jours 10 à 11Retour progressif à la normale ; arrêt du jeûne exactement à l’heure où il a commencé
Les résultats empiriques ne peuvent être réfutés. Dans la Fédération de Russie, le Dr Chennikov a été le premier à obtenir un brevet pour une invention aussi inhabituelle et, à cette époque, considérée comme presque non scientifique.

brevet n ° 2028160 pour invention
"Une méthode de rééducation du corps"
(Technique d'abstinence d’eau et nourriture pour se soigner)

Le but de l’étude :
Augmenter l'effet thérapeutique du jeûne thérapeutique, en créant une méthodologie complète et hautement efficace pour lutter contre diverses maladies à utiliser dans des conditions cliniques et privées.

Méthode de jeune sec: 
Detoxiner le corps de ces déchets, restaurer le statut immunologique du corps, augmenter la résistance du corps aux influences extérieures,(Loi d’hormèse), prévenir et éliminer les troubles physique et psychique du corps humain.

La méthode, ci-après dénommée «méthode de guérison de l'abstinence», a été officiellement testée en 1992 sur un groupe de 19 personnes, dont un membre de la commission d'experts, conformément à un accord conclu avec l'Institut de médecine publique d'Ivanovo (IGMI), l'Entreprise de recherche et de production de médicaments de l'environnement, Protection oncologique, sanatorium gastro-entérologique d’Ivanov en Russie.
Le groupe comprenait des personnes âgées de 20 à 63 ans souffrant d’hypertension, d’ostéochondrose, de maladies cardiovasculaires, de cancer du poumon, d’asthme bronchique, de calculs rénaux, de troubles de la digestion, d’ulcères gastriques, de varices, de troubles métaboliques, de troubles ORL chroniques. Diverses maladies auto immunes, fibromes utérins.
L’approbation s’est déroulée dans des conditions de sanatorium et a été accompagnée par une commission d’experts compétente composée de:
Chernobrovy V.F. - Vice-recteur aux travaux médicaux de l'IGMI, responsable du département des maladies infectieuses, professeur;
Bobkov V.A. - chef du département de médecine interne, professeur;
Poltyrev V.S. - Chef du Département de médecine interne, Faculté des hautes études de médecine, Professeur;
Nikolayenkov Yu.V. - Vice-recteur aux affaires académiques, IGMI, chef du département de physiopathologie, professeur;
Citizen L.S. - chef du département de physiologie normale, professeur;
Slobodin V.B. - Chef du département de biochimie, professeur.
La mise à l'essai expérimentale de la méthode de guérison par abstinence de L. A. Chennikov s'est accompagnée d'une évaluation clinique approfondie et d'une surveillance des paramètres biochimiques, immunologiques et physiologiques (prise de sang). La dynamique du sang, de l'urine, de la pression artérielle, des variations de poids corporel, etc., a été prise en compte par la commission d'experts, qui a examiné la documentation clinique, de laboratoire et fonctionnelle pour les essais cliniques de la méthode de jeune sec prise en compte de la dynamique des changements d'indicateurs, des phases de résistance, des types et de la nature du nettoyage du corps des toxines, etc.
 
Après avoir entendu le rapport de l'auteur de la méthode «Guérir par  l'abstinence d’eau et de solide», L. A. Chennikov, ainsi que les résultats de l'expérience clinique obtenue pour évaluer cette méthode, présentés par le professeur associé d'IGMI, E. V. Putintsev, qui faisait partie des participants à l'expérience. Des études cliniques, de laboratoire et fonctionnelles et une enquête sur les patients ayant subi un traitement de deux semaines par jeune sec. (y compris la préparation de 2 jours et la sortie de 3 jours), conclu:
  1. Du 12.10 au 26.10.92, le professeur associé E.V. Putintsev a suivi un cours de Healing Abstinence selon la méthode de L. A. Chennikov Composé de 20 personnes et du responsable d'une expérience scientifique. ci-joint) sur la base du sanatorium pour enfants gastro-entérologiques  d’Ivanovo - le médecin en chef, V. Bunin
  2. La commission d'experts confirme la fiabilité de toute la documentation clinique, de laboratoire et fonctionnelle de l'expérience clinique "Healing Abstinence".
  3. La commission d'experts confirme tous les résultats de l'expérience scientifique "Guérir l'abstinence eau et solide": dynamique des symptômes cliniques, types et nature des symptômes de nettoyage du corps des toxines et des tissus malades, modification des phases de résistance, dynamique de l'énergie, paramètres vasculaires et de laboratoire.
  4. La commission d'experts confirme les résultats positifs exprimés chez 18 patients sur 20, avec une amélioration de la numération globulaire
  5. La commission d'experts recommande l'utilisation de la méthode de «guérison par l'abstinence d’eau et des solides» à des fins thérapeutiques pour un large éventail de pathologies.
  6. Evalue la méthode du jeune sec fiable  à 96 % sur toutes pathologies confondu                                                                                                                                                      

15.12.2020- Traitement post covid par jeûne sec.

Rééducation des patients après une infection à coronavirus par jeûne sec.. Copyright Michel Deladoey- www.jeunesec.com, 
 Comment restaurer les poumons après une infection au COVID-19 ?Il est désormais bien établi que les poumons sont l’un des organes les plus touchés par le COVID-19. Le principal dommage observé après l'infection est la fibrose pulmonaire.

🔬 Qu’est-ce que la fibrose pulmonaire ?La fibrose est une conséquence à long terme d’un processus inflammatoire pulmonaire. Elle se manifeste par le remplacement du tissu pulmonaire normal par du tissu conjonctif cicatriciel. Cela empêche certaines parties des poumons de participer aux échanges gazeux, réduisant la capacité respiratoire et l’adaptabilité du système pulmonaire.
⚠️ Cette complication n’est pas exclusive au COVID-19. D’autres pneumonies virales ou bactériennes sévères peuvent aussi entraîner une fibrose.

🧭 Symptômes courants après COVID-19 associés à la fibrose :
  • Essoufflement, surtout à l’effort, ou même au repos si la fibrose est étendue
  • Fatigue importante et baisse des performances
  • Vertiges en position debout ou lors d’efforts
  • Douleurs intercostales ou thoraciques (surtout en cas d’atteinte pleurale)
  • Toux sèche persistante, parfois avec peu d’expectorations
  • Cyanose (coloration bleue des lèvres ou des doigts), signe de manque d’oxygène

🛠️ Peut-on inverser la fibrose ?La fibrose est souvent considérée comme irréversible, une fois les tissus cicatrisés. Toutefois, certaines méthodes naturelles pourraient ralentir son développement, voire stimuler des mécanismes de régénération. L’une de ces méthodes, basée sur l’expérience clinique, est le jeûne sec thérapeutique.

🌿 Le jeûne sec comme méthode de régénération pulmonaireLe jeûne sec consiste à ne consommer ni nourriture ni eau pendant une durée contrôlée. Cette pratique enclenche trois mécanismes biologiques puissants qui pourraient aider à réparer les tissus pulmonaires endommagés :

1. Stimulation des cellules souchesDes expériences ont montré qu’après un jeûne sec de 7 jours :
  • Le nombre de cellules souches dans le sang double après 1 semaine de reprise alimentaire.
  • Après 2 semaines, ce chiffre triple, par rapport au niveau initial.
Les cellules souches ont la capacité de se transformer en tout type de cellule du corps. Elles se dirigent vers les zones lésées (comme les poumons), et s’y transforment en nouvelles cellules pulmonaires, contribuant ainsi à la régénération tissulaire.
Des études animales ont déjà prouvé l’efficacité des cellules souches dans la réparation du cœur, du foie, du cerveau et d'autres organes. Le jeûne sec pourrait donc stimuler cette même régénération naturelle dans les poumons.

2. Autolyse (auto-nettoyage cellulaire)L'autolyse est un processus où le corps détruit ses propres tissus abîmés, comme :
  • kystes,
  • tumeurs bénignes,
  • excroissances,
  • tissu fibreux.
Pendant le jeûne, l’organisme, privé d’apport extérieur, commence à "digérer" ce qui est non essentiel ou endommagé. Cela permet d’éliminer progressivement les tissus cicatriciels comme ceux observés dans la fibrose.

3. Combustion cellulaire interne (détoxification avancée)En l’absence d’eau, les cellules enclenchent une réaction interne intense qui brûle les toxines et les déchets pathologiques, comme si chaque cellule devenait un mini-réacteur thermique.
Ce phénomène contribue à :
  • détruire les cellules anormales ou endommagées,
  • ralentir l’évolution de la fibrose,
  • renforcer les mécanismes d’auto-réparation.
Les patients ressentent souvent une chaleur interne pendant le jeûne, signe de cette activité métabolique intense.

🧪 Résultats cliniques et expériences associées
  • Le jeûne sec a démontré une augmentation notable de la régénération cellulaire dans divers tissus.
  • Les effets positifs peuvent durer plusieurs mois.
  • Des cas cliniques ont montré une récupération partielle voire complète chez des patients atteints de fibrose pulmonaire ou de lésions post-infarctus.

✅ Conclusion : un outil naturel prometteurBien que la fibrose pulmonaire soit considérée comme irréversible en médecine classique, le jeûne sec thérapeutique pourrait :
  • Activer les cellules souches pour réparer les tissus,
  • Déclencher l’auto-nettoyage des cicatrices internes,
  • Renforcer l’immunité et détoxifier l’organisme en profondeur.
🧠 L’avenir de la médecine pourrait passer par l’activation des capacités naturelles du corps, plutôt que par des solutions uniquement pharmacologiques.

⚠️ Précautions importantes :
  • Le jeûne sec doit être encadré médicalement, surtout en cas de pathologies pulmonaires.
  • Cette méthode ne convient pas à tout le monde (contre-indications : maladies chroniques graves, insuffisance rénale, etc.).
  • Toujours consulter un professionnel de santé qualifié avant d'entamer un jeûne prolongé.


Jeûne et chelation des métaux lourd

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fnut.2021.708069/fullwww.frontiersin.org/articles/10.3389/fnut.2021.708069/full
Excrétion de métaux lourds et de glyphosate dans l'urine et les cheveux avant et après un jeûne à long terme chez l'homme
Franziska Grundler1,2, Gilles-Eric Séralini3, Robin Mesnage4, Vincent Peynet5 et Françoise Wilhelmi de Toledo1* 1Clinique  Überlingen, Allemagne 2Charité-Universitätsmedizin Berlin, membre corporatif de la Freie Universität Berlin, Humboldt-Universität zu Berlin et Berlin Institute of Health, Berlin, Allemagne 3Département de Biologie et Réseau Risques, Qualité et Environnement Durable MRSH, Université de Caen Normandie, Caen, France 4Gene Expression and Therapy Group, Département de génétique médicale et moléculaire, King's College London, Faculté des sciences de la vie et de médecine, Tower Wing, Guy's Hospital, Londres, Royaume-Uni 5Institut de Recherche et d'Expertise Scientifique, Europarc, Strasbourg, France Contexte :

L'exposition alimentaire aux polluants environnementaux chez l'homme est un important problème de santé publique.
Alors que le jeûne à long terme interrompt l'exposition alimentaire à ces substances, la mobilisation des graisses en tant que source d'énergie peut également libérer des substances bioaccumulées. Cela n'a été, à notre connaissance, étudié que chez les personnes obèses il y a des décennies. Cette étude a exploré les effets d'un jeûne de 10 jours sur l'excrétion des métaux lourds et du glyphosate. Méthodes : Les taux urinaires d'arsenic, de chrome, de cobalt, de plomb, de nickel, de mercure et de glyphosate ont été mesurés avant et après 10 jours de jeûne chez 109 sujets sains. De plus, une analyse des cheveux a été effectuée avant et dix semaines après le jeûne chez 22 sujets.

Résultats : Le jeûne a entraîné une diminution du poids corporel et des concentrations urinaires d'arsenic (de 72 %) et de nickel (de 15 %). Une diminution des concentrations de plomb dans les cheveux (de 30 %) a été documentée. Les niveaux urinaires de mercure étaient inchangés pour le chrome, le cobalt et le glyphosate, qui étaient indétectables chez la plupart des sujets. De plus, la fatigue, les troubles du sommeil, les maux de tête et la faim ont été réduits. Les symptômes d'inconfort corporel ont diminué quatre semaines après la réintroduction des aliments. Conclusions : Les résultats de cette étude fournissent les premières informations sur les changements dans l'excrétion des métaux lourds causés par le jeûne à long terme. D'autres études portant sur la cinétique d'efflux entre les différents compartiments de l'organisme sont nécessaires. Enregistrement des essais cliniques : https://www.drks.de/drks_web/navigate.do?navigationId=trial.HTML&TRIAL_ID=DRKS00016657, identifiant : DRKS00016657.

Autres Etudes scientifiques  en  jeune humide (non exhaustif)

  • Annadora J. Bruce-Keller, Gloria Umberger, Robert McFall, Mark P. Mattson, 1999, La restriction alimentaire réduit les dommages au cerveau et améliore les résultats comportementaux à la suite d'insultes excitotoxiques et métaboliques, Annals of Neurology
  • https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9894871
  • Changhan Lee, Lizzia Raffaghello, Sebastian Brandhorst, Fernando M. Safdie, Giovanna Bianchi, Alejandro Martin-Montalvo, Vito Pistoia, Min Wei, Saewon Hwang, Annalisa Merlino, Laura Emionite, Rafael de Cabo et Valter D. Longo, 2012, Fasting Cycles retardent la croissance des tumeurs et sensibilisent une gamme de types de cellules cancéreuses à la chimiothérapie, Sci Transl Med
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3608686/
  • Chia-Wei Cheng, Gregor B. Adams, Laura Perin, Min Wei, Xiaoying Zhou, Ben S. Lam, Stefano Da Sacco, Mario Mirisola, David I. Quinn, Tanya B.Dorff, John J.Kopchick, Valter D.Longo , 2014, le jeûne prolongé réduit l'IGF-1 / PKA pour favoriser la régénération à base de cellules souches hématopoïétiques et l'immunosuppression inverse, cellules souches
    http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1934590914001519
  • Chia-Wei Cheng, Valentina Villani, Roberta Buono, Min Wei, Sanjeev Kumar, Omer H. Yilmaz, Pinchas Cohen, Julie B. Sneddon, Laura Perin, Valter D. Longo, 2017, Promotion du régime jeûne-imitant, imitant Ngn3-Driven β- Régénération cellulaire pour inverser le diabète, Cell
    http://www.cell.com/cell/fulltext/S0092-8674(17)30130-7
  • Goldhamer A, Lisle D, B Parpia B, Anderson SV, Campbell TC., 2001, Jeûne médicalement sous surveillance dans le traitement de l'hypertension, J Manipulative Physiol Ther
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11416824
  • Haugen MA, Kjeldsen-Kragh J, KS Bjerve, Høstmark AT, Førre O., 1994, Changements dans les acides gras phospholipidiques plasmatiques et leur relation avec l'activité de la maladie chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traités avec un régime végétarien., Br J Nutr.
    www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7986787
  • Kjeldsen-Kragh J, Mellbye OJ, Haugen M, Mollnes TE, Hammer HB, Sioud M, Førre O., Scand J Rheumatol., 1995, Modifications des variables de laboratoire chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde au cours d'un essai de régime végétarien à jeun et d'un an .
    www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7747149
  • Lara-Padilla E, Godínez-Victoria M, Drago-Serrano ME, Reyna-Garfias H, Arciniega-Martínez IM, Abarca-Rojano E, Cruz-Hernández TR, Campos-Rodríguez R, (2015) Le jeûne intermittent module les niveaux d'IgA dans le intestin grêle sous un stress intense: un modèle de souris.
    www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26198915
  • Longo VD, Lee C, Raffaghello L, (2012) Drug Resist Updat. 2012 février-avril; 15 (1-2), Famine, désintoxication et multirésistance aux traitements du cancer.
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22391012
  • Longo Valter (2013), Les cycles de jeûne ralentissent la croissance des tumeurs et sensibilisent une gamme de types de cellules cancéreuses à la chimiothérapie, Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis, National Institutes of Health.
    www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3608686/
  • Longo Valter et al. (2014), Cellule souche cellulaire, Volume 14, Numéro 6, p810–823, 5 juin 2014, Un jeûne prolongé réduit le taux d'IGF-1 / PKA pour favoriser la régénération à base de cellules souches hématopoïétiques et l'immunosuppression inverse
    www.slate.fr/story/100539/jeuner-trois-jours-systeme-immunitaire
  • Longo Valter, Mattson Mark P. (2014), Le jeûne: mécanismes moléculaires et applications cliniques
    www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1550413113005032#bib34
  • Muller H, Vilhelmi de Toledo F et Resch K. L, 2001, Jeûne suivi d'un régime végétarien chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde: une revue systématique, Scand J Rheumatol,
    www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11252685
  • Un séjour sans faille
    Quiclet, Charline et al., 2019, Métabolisme - Clinique et expérimental, volumes 97, 9 à 17, Les adipocytes pancréatiques induisent une hypersécrétion d'insuline chez des souris sensibles au diabète.
    www.metabolismjournal.com/article/S0026-0495(19)30093-9/abstract 
  • Vishwa Deep Dixit, Yun-Hee Youm, Kim Y. Nguyen, Ryan W. Grant, Emily L. Goldberg, Monica Bodogai, Dongin Kim, Dominic D'Agostino, Noah Planavsky, Christopher Lupfer, Thirumala D Kanneganti, Seokwon Kang, Tamas L. Horvath, Tarek M. Fahmy, Peter A. Crawford, Arya Biragyn et Emad Alnemri, (2015), Nature Medicine
    Le β-hydroxybutyrate, un métabolite de la cétone, bloque une maladie inflammatoire à médiation par l'inflammasome NLRP3
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25686106
  • Owen OE, Reichard GA Jr., Patel MS, Boden G., 1979, PubMed NCBI, Métabolisme énergétique dans les repas et le jeûne.
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/371355
  • Veerendra Kumar Madala Halagappa, Zhihong Guo, Michelle Pearson, Yasuji Matsuoka, Roy G. Cutler, Frank M. LaFerla et Mark P. Mattsona, 2007, Le jeûne intermittent et la restriction calorique atténuent les déficits comportementaux liés au vieillissement chez le modèle de souris triple-transgénique de la maladie d'Alzheimer, Neurobiologie de la maladie
    ​https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17306982
    ​Yoshinori Ohsumi, prix Nobel de médecine 2016, recherches sur l'autophagie
​Retraite Jeûne Sec  Thérapeutique
Dry Fasting Therapeutic Retreat​
​Michel Deladoey, naturopathe

+41(0)79 436 71 52  -  [email protected]

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